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Coach certifiée

Ceci est une invitation. Quand tu te sens très r

Ceci est une invitation.

Quand tu te sens très réceptive à ta connasse intérieure.

À faire 30 cm de voyage pour quitter ta tête et suivre la douceur qui se loge sous ta poitrine.

Ceci n’est pas un concept bisounours, mais un discernement fonctionnel pour sortir du mode survie.

Passer du yo-yo émotionnel excessif qui paise sur ton corps vers un système nerveux qui s’apaise et s’auto-régule en souplesse.

Donc même si c’est très difficile de te lâcher la grappe par moment, regarde cette part de toi que tu as tendance à juger et à rejeter.

Regarde là comme une part de toi humaine pour qui c’est difficile, sans te dire que c’est Toi qui a un problème et qui fait mal les choses.

Tout le monde improvise. Personne arrête subitement de faire des erreurs, de douter et de retomber dans des vieux schémas « sur lesquels il a déjà travaillé ».

Aucune méthode n’est censé nous rendre parfait car nous ne sommes pas cassé.

Le but de l’existence n’est pas d’être heureux tout le temps, mais d’être en paix. Avec toutes les itérations, et les balbutiements que cela comporte.

C’est vertigineux de ne plus s’identifier à ses comportements.

Autant que c’est vertigineux de penser à qui tu es vraiment.

Tu as le choix de ne pas laisser ton propre regard t’enfermer et te limiter.

Oui, c’est possible. C’est déjà là.

Tu peux être aimée et acceptée exactement comme celle que tu es.

On peut par moment se sentir happée par une certa

On peut par moment se sentir happée par une certaine image de la réussite dans notre travail.

L’argent reste un sujet central quand on est à notre compte et celui qui soulève aussi beaucoup de peurs.

Je n’ai pas de belle histoire « from de bottom now we here » à raconter.

J’ai eu la chance d’avoir un socle de sécurité à mes débuts et une famille sur laquelle je pouvais m’appuyer en cas de problème.

Cependant au fil de mes formations, expériences et rencontres entrepreunariales, j’ai réalisé que le sentiment de sécurité était jamais corrélé avec le nombre de bouées de sécurité, de profit, ou de chiffres sur notre compte entreprise.

Je l’ai observé d’abord en moi où malgré la croissance du CA, j’étais catapulté d’un stress à l’autre.

Je l’ai observé chez des entrepreneurs à 7 chiffres, qui malgré un message qui affiché « l’amour de soi » se sentaient vide de l’intérieur.

J’ai vu des courses effrénées à base de webinar, tunnels de vente, et plan stratégique à 5 ans jamais évoquer l’écologie intérieure.

Au final j’ai observé chez des personnes envers lesquelles j’avais une grande tendresse beaucoup de maltraitance ce qui m’a fait questionner mon rapport à l’argent.

Nous pouvons nous donner des objectifs sur un temps limité en passant à l’action.
Cela fonctionne. Mais la répétition d’actions est un moteur qui part d’un espace de manque, donc limité.

Il y a moins de 60 ans, une femme ne pouvait pas ouvrir un compte en banque sans le consentement de son mari, ce qui peut nourrir une certaine envie d’émancipation.

J’ai décidé de faire un pas de côté de cette roue du hamster, qui sans vision d’un épanouissement global reproduisait le même schéma.

Par amour pour moi. J’ai eu envie d’écouter davantage les signaux de mon corps, de respecter ma cyclicité, mon rythme, de nourrir mon manque d’amour-propre, de mettre plus de fun et de joie dans mon travail.

Aujourd’hui je me sens très fière de mes compétences mais tout autant de m’être donné ces autorisations intérieures à l’espace et à la douceur.

Je me sens plus moi-même. Calme. Angoissée encore par vagues dans mon corps. Mais reconnaissante et au cœur du beau qu’il y a dans ma vie.

Dans ce processus on enlève plus de couches qu’

Dans ce processus on enlève plus de couches qu’on en ajoute.

Mettre en mot ce qu’on ressent sans juger.

Révéler ce qui nous empêche d’être dans notre légèreté.

Choisir une nouvelle façon de faire, sans forcer.

Imaginer les générations futures entourées par des adultes en marche pour (re)connaître leur propre valeur, leur propre lumière.

Ça me fou des frissons ! Je ne suis pas parfaite dans ce processus, mais je m’engage à me sentir de plus en plus en paix avec moi-même.

Mes ressentis intérieurs, comme les indicateurs subtils de mon degré d’intégrité.

Ça n’a pas à être lourd quand on sait qu’on se ramène mutuellement un peu plus près de notre justesse intérieure.

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Mon espace de coaching individuel Vivante est disponible. Un espace ressourçant pour avoir les clés pour avancer avec plus de légèreté. Lien en bio pour échanger

À la fin du mois je pars 4 jours seule laissant h

À la fin du mois je pars 4 jours seule laissant homme et enfant à la maison.
Si cette liberté me semble complètement banale aujourd’hui, je réalise que c’est parce que notre amour est sûr qu’on peut vivre chacun ce qui fait battre notre cœur.
Je me rappelle cette fois où sur un long trajet en voiture je t’avais demandé comment tu expliquais toi, pourquoi ça marchait si bien nous deux et tu m’avais répondu sans suspens : « Parce qu’on ne cherche pas à impressionner l’autre ».
C’est si juste et à la fois je ne peux pas m’empêcher de penser au chemin que j’ai du emprunter pour me l’autoriser. J’avais mis en place beaucoup de stratégies pour ne pas déplaire. Comme si j’étais convaincue qu’il y avait quelque chose à cacher à l’intérieur de moi.
Je sais aujourd’hui que c’est aussi pour ça que tu m’as été envoyé. Pour que j’apprenne à sentir que c’était safe de me dévoiler dans mon entièreté.
Et même si je me suis longtemps demandé si après autant d’années l’amour n’allait pas s’amenuiser, ne connaissant que l’amour dysfonctionnel depuis l’enfance, je réalise que je ne savais pas de quoi je parlais.
Le nombre de fois où l’on peut retomber amoureux d’un être est infini du moment où l’on sait d’où vient la source de l’amour.
Merci de m’offrir cet espace de m’explorer. Merci de ne jamais te sentir menacée par mes questionnements épineux, de rester à côté dans mes convictions autant que dans mes inquiétudes.
Je n’ai pas peur de dire que si ça venait à s’arrêter nous deux je serai dévastée.
J’aime l’envisager parfois. Comme pour me rappeler à quel point ta présence est un délice de paix pour mon système nerveux.
C’est à tes côtés que j’ai choisi d’apprendre à m’engueuler. Pour une raison toute con qui m’est essentielle. Je suis accro à notre simplicité.

Deux partages qui me tiennent à cœur : Notre cu

Deux partages qui me tiennent à cœur :

Notre culture nous pousse à ignorer, dévaloriser, passer outre nos propres perceptions, envies et élans du cœur ce qui nous rend vulnérable à mettre des personnes sur un piédestal. À performer pour être aimées en renforçant notre sentiment d’infériorité et de ne pas savoir « ce qu’il faudrait faire ».

L’antidote à ça est de prendre la responsabilité de rester dans notre puissance. C’est à dire à se (re)connecter à nos envies profondes et à notre corps en présence des autres. Il s’agit de remplacer tout ce qui commence par « je devrais faire/être… » par « est-ce que ça me donne envie ? » Une envie profonde est incompatible avec un « tu devrais » et un sentiment d’obligation.

Par exemple dans la relation de coach/coaché qui n’est pas exclue de ce conditionnement, je suis très consciente que ma coach est humaine avec ses propres contradictions et challenges.

Il se trouve qu’elle a des outils, des perspectives, une sagesse et des ressources qui rendent ma trajectoire plus simple ou qui me permettent d’aller plus vite là où j’ai envie d’aller. Si elle est plus expérimentée que moi elle n’est pas « meilleure » que moi, elle est mon égale, mon alliée.

Explore ces questions pour revenir dans ta puissance :

Quand tu penses que « tu devrais faire quelque chose », est-ce que tu ressens le consentement de ton corps et de ton cœur pour y aller ?

Est-ce que tu t’empêches d’être douce avec toi à moins que tu ne performes, atteignes un certain objectif, en créant dès lors un climat insécurisant à l’intérieur de toi ?

À quels endroits de ta vie fais-tu passer les besoins des autres avant les tiens ?

Douce soirée.

Souvent quand je sens que ma mâchoire est tendue,

Souvent quand je sens que ma mâchoire est tendue, qu’il a des espaces crispés en moi car certains segments de la journée se sont accumulés.
J’ai l’envie de me nourrir.
Pour être capable de donner de mon attention, de mon affection, de mon amour et ma tendresse.
Je ressens l’envie d’être là pour moi.
De me rappeler combien je suis plus que ce que je fais ou ne fais pas.
Je m’appelle ma chérie ou mon amour dans ces moments là.
Un brin schizophrène sur l’instant, il m’arrive de poser une main sur la poitrine, une autre sur mon bas ventre.
Ma chérie. Je suis là. Tu peux te détendre même si rien n’est parfait. Ouvre toi. Tout va bien. C’est ok. Détends-toi.
Je me rétro-alimente de chaque respiration, de chaque émotion ressentie.
C’est comme si j’étais de nouveau avec moi à cet instant et donc de nouveau avec toi.
À ma fille, à mon amoureux.
Ce temps là est précieux. Même s’il est court. Que vous ne le voyez probablement pas.
C’est grâce à lui que je peux donner sans me forcer.

VIVANTE coaching 1:1 est disponible. Une invitation pour venir activer sa légèreté et se rapprocher de soi. ✨

Je ne suis pas très douée pour “faire” à répétition.
Je peux passer des heures allongée dans l’herbe à respirer. A observer. A écrire des trucs. À me former. À vivre. Même quand tout “reste à faire.”
Quand viennent certaines tâches ( même si le bain fait partie des rares tâches qui me nourrissent, avec Bibou en diva 😂 ) j’essaie de les rendre amusantes.
J’ai appris à dévier les pensées productivistes pour invoquer la légèreté.
J’ai tellement besoin de légèreté !
Et à côté de ça je suis très mal à l’aise dans une conversation légère.
Quand il s’agit de parler de tout et de rien, je peux entièrement m’effacer.
Dans l’embarras le plus total, je préfère observer que d’utiliser des filtres sociaux avec lesquels j’ai toujours été maladroite.
Je préfère aller en profondeur.
Me foutre à poil avec l’autre.
Comprendre et dénouer certains mécanismes inconscients qui nous empêchent de laisser la joie et la connexion circuler.
La légèreté et la profondeur. Deux besoins qui me sont de plus en plus vitaux.
Dans le passé je culpabilisais de voir les autres faire autrement. Mon compagnon notamment. Faire beaucoup plus. Se sentir plus rapidement à l’aise et sociable que moi.
J’ai essayé de me forcer à être différente. Ce fut un désastre. 😂
Alors depuis, quand je me vois résister à aimer une partie de moi ou à vouloir la changer, j’essaie de trouver ce qu’elle m’apporte.
Plutôt que de la regarder sous l’angle du manquement: “pas assez ou trop ceci ou cela” je mets de la lumière dessus.
On passe parfois beaucoup de temps à essayer d’atteindre les standards des autres.
Et si ce qui nous venait naturellement était notre plus grande médecine ?

Coaching 1:1 Vivante est maintenant disponible. Séance clarté pour échanger sur tes envies et projets. ✨

Si je m’émerveille autant de voir une personne

Si je m’émerveille autant de voir une personne faire valser les attentes qui pèsent sur elle, c’est parce que j’ai moi-même eu du mal à affirmer mon propre style, mes propres envies, mes ambitions et projets.
Pour cause, mon jeune cerveau a été biberonné très tôt au « il faut que tu travailles bien pour avoir de bonnes notes », l’une des injonctions les plus castratrices de notre créativité.
Celle qui à 30 ans passés te fait encore suivre des règles que tu trouves profondément stupide et rigide « parce que c’est comme ça » ou « parce que c’est comme ça que ça se fait ».
L’entreprenariat a eu l’effet d’une bombe dans mon syndrôme de la bonne élève.
Appliquer les règles des autres pour ne pas prendre le risque de me montrer moi, dans ma folie et mes imperfections a révélé un manque abyssal de confiance en moi.
Quelle chance d’avoir traversé ces périodes de doutes intenses quand j’y pense..
Je ne le voyais pas encore bien sûr mais ces moments ont musclé mon discernement de savoir ce qui est moi de ce qui n’est pas moi. Mais putain merci !
Ne pas suivre un conseil business parce qu’il ne nous ressemble pas est l’une des meilleures raisons de ne pas le suivre.
La maternité est venue secouer à un niveau encore un peu plus profond ce qui restait de mes conceptions d’être « une bonne mère ».
Je suis aujourd’hui beaucoup moins intéressée par essayer de trouver un équilibre vie pro/vie perso qu’à faire l’expérience de ce qui me convient ou ne me convient pas.
J’ai choisi d’avancer en respectant ma cyclicité, mon rythme, et mes envies. C’est à dire que si j’ai envie de travailler jusqu’à 23h à un moment je le fais et si j’ai envie de commencer à 11h à d’autres je le fais aussi.
C’est une danse avec moi-même et les autres dans laquelle l’amour et le respect de moi est le biais par lequel je peux nourrir tout le reste.
Comme la terre a besoin de temps de jachère pour se raviver, j’ai besoin de me nourrir de l’intérieur, pour donner ce que j’ai envie de donner aux autres.
Simone de Beauvoir nous éclaire tel un sémaphore ici.
Sortir des règles maltraitantes de réussite pour vivre l’aventure de se rapprocher de nous.
C’est déjà là. Je le sens éclore partout. C’est si beau !

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